Pierre-Jean Chalençon se trouve dans une impasse financière. Découvrez comment l’ex-acheteur d’Affaire conclue compte renflouer ses caisses. Ce dernier qui fourmille tant de projets. Force est de constater qu’il ne manque pas d’originalité.
Après avoir fait les beaux jours d’Affaire Conclue sur France 2, Pierre-Jean Chalençon a été finalement dirigé vers la porte de sortie. Ce n’est un secret pour personne, le passionné de l’ère napoléonienne est un personnage qui divise. S’il a toujours fait preuve d’un franc-parler corrosif, il n’hésite aucunement à dépasser les limites de la bienséance. Et gare à ceux qui osent se mettre sur son chemin. Qui s’y frotte s’y pique !
Sur les réseaux sociaux, le collectionneur français ne manque pas de montrer à ses détracteurs de quel bois il chauffe. Et ce n’est pas Line Renaud qui dira le contraire. La comédienne qui en a fait les frais en juin dernier. Sans compter Caroline Margeridon avec qui il a eu une grave dispute après son départ de l’émission d’enchères.
Entre les quatre murs du Palais Vivienne, cet hôtel particulier du XVIIIe siècle, acheté au courant de l’année 2015 pour une somme mirobolante, Pierre-Jean Chalençon y file des jours beaucoup plus paisibles et y laisse libre court à sa dévorante passion pour Napoléon Bonaparte. Une acquisition dont il a su tirer pleinement partie. En effet, depuis pas mal d’années, l’ami de Sophie Davant organise des visites privées au sein même du Palais Vivienne. Malencontreusement, la crise sanitaire ne lui permet plus de le faire.
« J’ai vingt ans de remboursement sur le dos, j’ai pris perpète » !
Et de résumer, le mois de mai dernier, sa situation alarmante : « C’est pas évident parce que je ne suis pas salarié de France 2, donc pas d’argent de ce côté. Le Palais Vivienne était fermé, donc pas de visites. C’est important que le gouvernement pense aux gens qui ne sont pas des salariés, il faut penser à ces gens-là ».
Pour se sortir des difficultés financières, Pierre-Jean Chalençon a pu compter sur le soutien de sa maman. « Ma mère est une femme très généreuse et elle m’a fait un virement », confessait-t-il, sans pour autant préciser le montant.
« J’ai vingt ans de remboursement sur le dos, j’ai pris perpète », révélait-il dans les colonnes du Parisien. Et celui-ci de faire part de sa porte de sortie pour l’après-crise : l’installation d’un « studio de télévision » entre les murs de son Palais Vivienne ! Toujours à trouver une de ses idées originales.