Véronique, la championne des 12 coups de midi, donne des nouvelles de son mari handicapé.
Avec plus de 30 victoires à son actif, Véronique est l’une des rares femmes à s’imposer comme championne de midi dans Les 12 Coups de midi.
Parcours de Véronique dans le jeu.
Elle y a fait sa première participation le 5 avril 2018 et est repartie avec l’alléchante somme de 447 226 euros. Etant fan de la chanson Tata Yoyo d’Annie Cordy, elle fût, lors de son passage dans le jeu, surnommée Tata Véro.
Femme au foyer, aidant familial, la candidate avait rejoint le jeu de Jean-Luc Reichmann dans l’espoir d’améliorer le quotidien d’Olivier. Elle annonçait d’ailleurs très tôt la manière dont elle souhaitait dépenser sa cagnotte. Dans sa ligne de mire, une maison de plain-pied, le couple résidant au premier étage d’un immeuble difficile d’accès pour son mari. Ce dernier qui se déplace en fauteuil roulant en raison de sa maladie, une maladie dégénérative du nom d’A.M.N, soit Adrénomyéloneuropathie.
Si Véronique était, lors de son passage dans le jeu, parvenue à marquer les téléspectateurs. Jean-Luc Reichmann, lui aussi, n’a pas dérogé à la règle. En témoigne ce samedi 31 octobre lorsque le compagnon de Nathalie Lecoultre l’ait repéré dans Questions pour un super champion. De quoi avoir visiblement réjouit l’animateur de TF1.
Malencontreusement, Véronique s’est inclinée à la dernière manche face à Rémi. Bien qu’avant son élimination, l’ancienne Maîtresse de midi n’a pas manqué d’évoquer son époux.
Et Samuel Etienne de l’interroger : « C’est vrai que vous êtes la reine du papier peint ? ».
Tata Véro de lui répondre : « Je le suis devenue parce que mon mari malheureusement a une maladie dégénérative et n’a pas pu m’aider donc moi qui n’était à la base pas vraiment bricoleuse, j’ai dû prendre mon courage à deux mains, l’escabeau dans l’autre main. On venait d’aménager dans l’appartement et les précédents propriétaires avaient des goûts qui n’étaient pas les miens, il y avait des grosses fleurs, donc j’ai tout enlevé. »
Et de poursuivre : « Ce qui a été le plus difficile, c’est de déplacer les meubles… Les armoires… La machine à laver dans la salle de bain, c’est lourd ! ».