Conviée dans TPMP, ce mardi soir, Lucie Bernardoni, finaliste de la »Star Academy 4″ aux côtés de Grégory Lemarchal vient d’avouer être très déçue du téléfilm consacré au défunt chanteur.

C’est ce lundi 07 septembre que TF1 diffuse enfin le très attendu biopic retraçant le parcours exceptionnel du regretté Grégory Lemarchal. Ce dernier décédé des suites de la mucoviscidose du haut de ses 23 ans à l’hôpital Foch de Suresnes. Un biopic intitulé « Pourquoi je vis ? », titre en référence à l’inoubliable prestation de Grégory Lemarchal sur la chanson de Daniel Balavoine.

Le biopic n’a pas eu l’effet escompté. Au contraire, il a fait beaucoup de déçus autant du côté des téléspectateurs que du côté des anciens Star Ac 4. Comme ce fût le cas de Lucie Bernardoni.

Invitée dans TPMP, ce mardi 08 septembre, elle n’a pas manqué de donner son point de vue : « Il y a des inexactitudes. C’est vrai que lors des scènes à la Star Ac, il est représenté comme assez solitaire mais en fait, ce n’était pas du tout ça ! On était dans un groupe et il était parfaitement intégré et même dans les meneurs. »

Après quoi Cyril Hanouna ait sollicité les avis de sa bande de chroniqueurs. Et Valérie Benaïm de soutenir : « Je suis la première à dire qu’il fallait le faire parce que les parents le souhaitaient (…) Mis à part Ducret et Mickael Lumière, j’ai trouvé que ça ne jouait pas très bien (…) Moi, j’ai pas aimé les choix qui ont été fait ! ».

Les fans indignées !


Une scène a été reprise et rediffusée en direct de TPMP, celle où on le voit subitement quitter un cours de danse. Ce qui a eu le don d’offusquer ses fidèles fervents.

« Ça m’a peiné de voir une scène comme ça. Mickaël Lumière est juste parfait, je me permets de le dire (…) Ça, ça n’est pas arrivé », déplorait Lucie Bernardoni avant d’assurer « Moi, ce que je peux vous dire c’est qu’il n’abandonnait pas ! ».

Et Jean-Michel Maire de partager sa ferme opinion sur le sujet : « Je n’ai pas aimé parce que la vie de Grégory a été tragiquement courte pour qu’on en fasse un objet télévisuel (…) Je n’ai rien appris. Le téléfilm en lui-même n’est pas assez riche. Ça ne méritait pas un téléfilm mais un documentaire. »