Dernièrement, Brigitte Macron fait l’objet d’un portrait au vitriol dressé par le philosophe Josef Schovanec où il souligne cette grande influence de la Première dame qu’elle peine tant à cacher.
Certes, Brigitte Macron reste dans l’ombre et donne l’air de ne pas se préoccuper de la politique. L’on sait tous que c’est faux ! Elle tient un rôle majeur dans la fonction politique de son mari. Elle officie dans l’ombre derrière le président et l’on peut dire qu’elle a une énorme influence en coulisses contrairement à ce qu’elle laisse entendre à chacun des entretiens qu’elle accorde à la presse.
A chaque fois que les médias évoquent son rôle auprès du chef de l’État, Brigitte Macron dégaine l’invariable réponse qu’elle ressasse depuis des mois. « Je n’ai ni goût ni compétence pour la politique » ! En témoigne également l’entretien qu’elle a accordé au Franceinfo : « Quand vous êtes chef de l’Etat, vous êtes élu. Quand vous êtes conjoint du chef de l’Etat, vous êtes là, mais les gens ne vous ont pas voulu. Il ne faut pas vous imposer à eux« .
Une Première dame très autoritaire !
La Première dame est omniprésente dans tout et ce depuis qu’Emmanuel Macron n’a été qu’un simple candidat à la présidentielle jusqu’à aujourd’hui. Ils forment tous deux un duo de choc et sont très soudés. Les rumeurs bruissent qu’Emmanuel ne serait jamais arrivé aussi loin sans elle. Ce qui a été particulièrement souligné par le philosophe Josef Schovanec dans le portrait consacré à Brigitte Macron publié à travers les pages de La Dépêche.
« Il est de notoriété publique que certains ministres, nommés par la première dame, sont responsables devant elle seulement, en particulier Jean Michel Blanquer et Sophie Cluzel, laquelle est convoquée toutes les deux semaines pour recevoir les directives qui s’imposent ensuite« , y mentionnait le philosophe, insistant surtout sur la grande influence de Brigitte Macron, tout en précisant que personne ne peut « toucher aux ministres de la Première dame« .
En effet, à titre de rappel, Brigitte Macron aurait joué dans le recrutement de Jean-Michel Blanquer, l’un des ministres les plus populaires du gouvernement. Un an avant la présidentielle, l’ex professeure a remarqué Jean-Michel Blanquer, alors connu des milieux de l’éducation, et a soufflé son nom à son époux lors de la composition du gouvernement.
Brigitte Macron est le boss, tout passe par son œil très avisé allant des plus petits détails aux plus grandes décisions et cela n’est plus un secret pour personne. Comme indiqué dans ce récent portrait dressé par Josef Schovanec, on reconnaît sa patte autant dans le « choix des menus du palais en passant par l’organisation des déplacements présidentiels« .