Des drames, Cécile de Ménibus en a vécu dans sa vie…Des effroyables épreuves qui la marquerait à jamais. Des douleurs qu’elle partage avec sa mère Catherine aujourd’hui âgée de 76 ans …Des douleurs que l’animatrice a souhaité accoucher sur le papier pour s’en libérer…C’est d’ailleurs le fin sujet de son roman.

En effet, Cécile de Ménibus sortira Je voudrais tout prendre d’elle, son premier ouvrage prévu sortir chez Charleston ce 20 octobre 2020. Dans ce livre, une mère et sa fille adulte, endeuillées par la mort récente d’une fille pour l’une et sœur pour l’autre, entreprennent un voyage libérateur à travers la France.

En plein promotion de son roman, Cécile de Ménibus a accordé une entrevue au magazine Gala dans laquelle elle est surtout revenue sur sa descente en enfer.

Ce double drame.


Catherine, sa mère, reniée par sa maternelle, a souhaité ne pas surtout reproduire le même schéma avec ses propres enfants bien que la vie fût très dure avec elle puisqu’elle a perdu un fils très tôt. Effectivement, le frère de Cécile de Ménibus a perdu la vie du haut de ses 2 ans en tombant d’une hauteur de 15 mètres.

Un tragique accident que sa famille ait dû revivre une seconde fois au courant de l’année 2015, avec sa grande sœur. Cette dernière très proche de Cécile de Ménibus qui après avoir été victime d’agressions sexuelles de la part d’un membre de leur famille a fini par lâcher prise et s’est suicidée.

Ce qui fût deux fois plus douloureuse encore puisque la défunte était très complice avec sa sœur : « Nous avions quinze mois d’écart, elle était l’aînée. Maman nous a élevées de la même manière, nous coiffant et nous habillant pareil jusqu’à l’âge de 10 ans. Puis, nous avons eu des trajectoires opposées. J’ai développé un optimisme sans limites, quand ma sœur s’enfermait dans son dégoût d’elle-même et la peur des autres« .

Et ce jour où elle s’est suicidée, Cécile de Ménibus l’avait pressenti pile poil au moment où le drame ait eu lieu. Qui plus est, cette sœur sujette depuis un bon moment à des épisodes de dépressions, elle la « surveillait depuis quatre ans comme le lait sur le feu ».

Et la présentatrice de confier : « Elle avalait jusqu’à 30 Xanax par jour. » Bien qu’elle l’avait pressenti, la rivale de Capucine Anav n’avait pas pu l’en empêcher car simplement elle n’était pas là : « J’étais dans un train au moment de sa mort. J’ai eu un pressentiment. J’ai téléphoné à ma belle-sœur en lui demandant d’aller défoncer sa porte. C’était trop tard. »