Jean-Pierre Pernaut s’est de nouveau, ce lundi 19 octobre, monté au créneau lorsque l’épineuse sujet sur les tests PCR fût évoqué. Il dénonce notamment l’énorme « fiasco » de ces tests en question. En témoigne son gros coup de gueule en direct de son JT de 13H.
Maintes fois remis au tapis, il ne s’agit plus aujourd’hui de rumeurs mais de faits avérés. Jean-Pierre Pernaut a annoncé en personne le 15 septembre dernier son départ du JT de 13H de TF1 au bout de 33 années de bons et loyaux services. Un départ qui prendra effet d’ici le 18 décembre prochain. Et c’est à Marie-Sophie Lacarrau que reviendra la succession du poste de l’époux de Nathalie Marquay.
Connu pour ses légendaires coups de gueules contre le gouvernement, même à la veille de son départ, Jean-Pierre Pernaut ne s’arrête pas. Il vient de récidiver une nouvelle fois. La dernière en date, fût au lendemain du discours tant attendu d’Emmanuel Macron du 14 octobre dernier où l’emblématique journaliste dénonçait les décisions totalement illogiques et dénuées de sens prises par le gouvernement entre autres avec l’instauration du couvre-feu.
En faisant le point sur la pandémie mondiale à Covid-19, ce lundi 19 octobre, et notamment sur les dispositifs mis en place pour la réalisation des tests PCR, à qui on fait de plus en plus recours depuis l’augmentation des cas positifs recensés dans l’Hexagone atteignant jusque-là le seuil des 30 000 cas, le journaliste de 70 ans n’a pas manqué de se mettre en rogne.
JPP dénonce encore le « fiasco » des tests PCR.
Il n’a pu cacher sa consternation après qu’un sujet portant sur un centre de dépistage récemment installé dans le Zénith de Lille fût diffusé.
« On évoque depuis des semaines et des semaines le fiasco des tests avec des délais beaucoup trop longs pour obtenir des résultats, commençait-il, avant d’en venir à un autre reportage évoquant le même sujet. Il y a pourtant un test salivaire inventé et fabriqué en France. On l’utilise ailleurs dans le monde, à des centaines de milliers d’exemplaires, mais pas chez nous ! Enorme lenteur de l’administration de la Santé qui n’a pas encore donné son feu vert et ce n’est pas la première fois« .