Roselyne Bachelot fût, ce mardi 1er septembre, la cible de violentes attaques de la part des chroniqueurs de TPMP.

Dernièrement, Roselyne Bachelot fait beaucoup parler d’elle et ce plus que le président lui-même ! Fraîchement nommée au portefeuille ministériel de la Culture, elle est sur toutes les lèvres… dans le milieu politique qu’à la télé.

La Ministre de la culture dans Reines du shopping !


Ce jeudi 27 août dernier par exemple, elle jouait aux shoppeuses dans Reines du shopping, l’émission officiée par Cristina Cordula, aux côtés d’Hapsatou Sy, Emmanuelle Rivassoux, Julie Zenatti et Julia Vignali. Une participation qui fût huée par les téléspectateurs avant qu’elle n’ait expliqué que le tournage s’est passé bien avant sa nomination à sa nouvelle fonction.

« Roselyne Bachelot a-t-elle encore sa place dans les émissions de divertissement ? »


Roselyne Bachelot a, ce lundi 31 août, été conviée dans Les Grosses Têtes de Laurent Ruquier. Ce qui a eu le don d’offusquer plus d’une. Et ce mardi 1er septembre, Cyril Hanouna et sa bande de chroniqueurs ont, eux aussi, abordé un sujet portant sur l’ex-chroniqueuse du Grand Huit.

Voici donc la question qui fût le centre du débat : « Roselyne Bachelot a-t-elle encore sa place dans les émissions de divertissement ? »

« Elle n’a pas du tout sa place, mais elle ne peut pas s’en empêcher. Franchement, elle a un égo surdimensionné« , avançait Gilles Verdez. « Elle entretient la confusion des genres, parce qu’elle veut redevenir chroniqueuse, elle veut se montrer à la télévision… Mais c’est le politique qui trinque« .

Valérie Benaïm était, elle aussi, favorable à un non : « Elle n’est légitime à nouveau dans les médias que si elle vient parler de l’action qu’elle a en ce moment au gouvernement« , affirmait-elle. C’est particulièrement la phrase qu’elle avait sortie au micro de RTL qui l’a autant remonté. « Dites donc les gamins, il faut me garder ma place au chaud hein ! », avait, en effet, lâché Roselyne Bachelot.

La doyenne de la bande a été la seule à répondre par l’affirmative. « Penser qu’elle dénigre sa fonction sous prétexte qu’elle a fait deux apparitions dans des émissions de divertissement, c’est vraiment avoir une piètre estime de sa capacité à faire la part des choses« , soutenait Isabelle Morini-Bosc avant de rajouter : « Et puis, excusez-moi, vous avez l’air de dire que le divertissement ne fait absolument pas partie de la culture… eh bien si ! Donc ce n’est pas si méprisable que ça. Je vous trouve très durs avec elle« .